Écoutez l'interview de Sophie qui cause de Calamity à la radio :
http://www.le6emesens.net/2008/10/05/le-6eme-sens-89-avec-sophie-perrimond/
Interview de Sophie Perrimond
Calamity fait sa rentrée!
Sophie Perrimond recevra et partagera à nouveau les "Lettres à sa fille" de Martha Jane Canary, dite Calamity Jane, au café théâtre :
Les Cariatides, tous les dimanches, en octobre et novembre, à 19h.
Les Cariatides
3 rue du palestro, 75002 Paris,
Métro Etienne Marcel ou Réaumur Sébastopol
P.A.F : 8 euros
Réservations : Pauline au 06 84 81 20 41 ou sur theatredesroches@yahoo.fr
Plus que jamais, nous tentons d'arracher un peu de douceur au "western du monde". Aussi, après le spectacle, nous partagerons également avec vous le fameux "gâteau de 20 ans" de Calamity Jane, et même un verre, et ce, avec grand plaisir.
En espérant vous croiser nombreux sur la route de notre Martha Jane Tour...
Bien à vous,
La Cie Le Théâtre des Roches
Les Cariatides, tous les dimanches, en octobre et novembre, à 19h.
Les Cariatides
3 rue du palestro, 75002 Paris,
Métro Etienne Marcel ou Réaumur Sébastopol
P.A.F : 8 euros
Réservations : Pauline au 06 84 81 20 41 ou sur theatredesroches@yahoo.fr
Plus que jamais, nous tentons d'arracher un peu de douceur au "western du monde". Aussi, après le spectacle, nous partagerons également avec vous le fameux "gâteau de 20 ans" de Calamity Jane, et même un verre, et ce, avec grand plaisir.
En espérant vous croiser nombreux sur la route de notre Martha Jane Tour...
Bien à vous,
La Cie Le Théâtre des Roches
Les photos de Calamity à Marseille !
Enfin les photos de la représentation du spectacle "Les Lettres à sa fille" dans la Chapelle de la Vieille Charité à Marseille, le 24 juin dernier !
Un décor naturel magnifique... L'écho d'une autre époque... Le parfum d'une histoire... Un lieu magique...
Mais regardez bien Sophie.
Ne trouvez-vous pas que quelque chose a changé ? Quelque chose dans la tenue, non ? Ou dans le décor ?
Vous hésitez ?
Alors, rendez-vous en octobre et novembre au café théâtre les Cariatides pour découvrir le nouveau visage du spectacle "Les Lettres à sa fille"! Plus d'infos à venir la semaine prochaine !
(Cliquez sur les photos pour les agrandir)
Un décor naturel magnifique... L'écho d'une autre époque... Le parfum d'une histoire... Un lieu magique...
Mais regardez bien Sophie.
Ne trouvez-vous pas que quelque chose a changé ? Quelque chose dans la tenue, non ? Ou dans le décor ?
Vous hésitez ?
Alors, rendez-vous en octobre et novembre au café théâtre les Cariatides pour découvrir le nouveau visage du spectacle "Les Lettres à sa fille"! Plus d'infos à venir la semaine prochaine !
(Cliquez sur les photos pour les agrandir)
Calamity à Marseille !
Le 24 juin prochain, à 20h30, Sophie Perrimond va jouer « Les Lettres à sa fille » dans la Chapelle de la Vieille Charité à Marseille.
La programmation de ce spectacle intervient dans le cadre d’une exposition « La mythologie de l'Ouest dans l'Art Américain, 1830-1940 » au Centre de la Vieille Charité du 9 juin au 3 août 2008.
Merci à Michèle Doucet et à son association pour les musées de Marseille d’avoir pensé à nous.
A noter que Sophie jouera juste après la conférence de Gregory Monro sur Calamity Jane ou les légendes de l'Ouest (18 h - salle du Miroir).
Jeune, acteur- réalisateur parisien, Gregory Monro s'est spécialisé dans les recherches sur la légendaire figure de Calamity Jane. C'est lui qui a retrouvé aux Etats-Unis les originaux des lettres conservées depuis plus de cinquante ans dans un musée du Montana. Il a collaboré à leur traduction et leur réédition.
Après le Musée des Lettres et des Manuscrits, c’est la deuxième fois que Sophie et Gregory interviennent conjointement lors d’un évènement consacré au mythe de Calamity.
>> Pour en savoir plus sur l’exposition « La mythologie de l'Ouest dans l'Art Américain, 1830-1940 »
>> En savoir plus sur la vieille charité
Le clip de Laure K. sur Calamity Jane
Voici un petit clip mettant en scène Sophie alias Calamity Jane. Un moment de douceur dans un monde de brutes, par la réalisatrice Laure K.
La pièce
InterprétationSophie Perrimond
Collaboration artistique
Mathieu Huot
Direction d’acteur
Bruno Lehoux
Cette pièce est tirée des lettres à sa fille de Calamity Jane. A travers cette correspondance, cette figure légendaire, qui oscille dans notre imaginaire entre l'héroïne sans peur et sans reproche et la marginale illettrée et alcoolique, s’enrichit, se construit et nous dévoile une mère, une amoureuse, une femme libre…
L'histoire
En 1873, Martha Jane Canary dite Calamity Jane, 21 ans, donne naissance à sa fille, suite à sa rencontre avec une autre légende de l'Ouest, Wild Bill Hickock. Son style de vie ne lui permettant pas de l'éduquer correctement, elle décide de la confier à un couple sans enfant.Très vite, elle souffre cruellement de l'absence de sa fille et ressent le besoin de lui écrire.
La première lettre date du 25 septembre 1877. Une vingtaine d'autres suivront, de façon très irrégulière, jusqu'à la dernière écrite en juin 1902, quelques mois avant sa mort. « Je suis malade et n'ai plus longtemps à vivre. J'emporte de nombreux secrets avec moi, Janey ». Avec candeur et franc parler, dans une odeur de poudre et d'écurie, ces 27 lettres furieuses, tendres et intimes ne parviendront à sa fille que dix ans après sa mort.
Calamity Jane concentra là tout son amour maternel, ses révoltes de femme, ses douleurs et ses solitudes, racontant l'histoire de sa vie et dévoilant avec une grande lucidité les coulisses d'un Far West légendaire qui ne parvint pas à détruire tout à fait une femme trop indépendante pour son époque.
Note d'intentionQuand j’ai décidé de monter ces textes, il y avait deux enjeux fondamentaux pour moi. D’abord, à l’instar de Martha Jane, je voulais que ce spectacle puisse voyager partout : sur une scène, mais aussi dans un salon, dans une bibliothèque, qu’importe. L’essentiel étant de pouvoir dire ces mots simples et intimes, et de nouer un dialogue entre eux et les publics. Cela nécessitait donc d’inventer une scénographie légère, non contraignante, de travailler l’adresse au public, et de trouver le lien, le lieu de l’intime et de la transmission. La recette fut celle de Martha elle-même, ce gâteau fabriqué sur scène et partagé avec le public.
L’autre enjeu était de retrouver une femme au-delà du mythe. Il s’agissait donc de créer des images qui viennent se superposer à celle du pantalon à frange et des colts, afin que surgisse la complexité de Martha. Si l’image de Calamity Jane est présente sous forme de photographie sur scène, elle n’est donc que le point de départ d’un voyage vers l’intimité de cette femme exceptionnelle.
Sophie Perrimond
Interview de Bruno Lehoux
Question : Comment êtes-vous arrivé sur le projet ?
« C’est Sophie Perrimond qui est venue me chercher. Elle avait déjà fait une mise en lecture de ces lettres. Elle sentait qu’il fallait aller plus loin… qu’il fallait les extraire du papier et les ré-entendre. Il fallait tout simplement retrouver un « dit », nouer conversation avec ces lettres, pour en retrouver le fil dans nos coeurs et nos esprits d’aujourd’hui. »
Question : Quels ont été les partis pris au niveau de la direction d’acteur ?
« D’emblée il apparu clair que pour retrouver ce « dit », il ne fallait pas incarner « Calamity » mais recevoir ces lettres soi même. Toute la difficulté pour l’actrice vient quand c’est sa propre voix qui les lui adresse... Si j’ai servi à quelque chose, c’est à aider l’actrice à tenir cette position. Pour qu’elle découvre et laisse ouverts les échos vivants de ces lettres qui rappellent les tonalités des milliers de westerns -pas plus cool, pas moins violents- endurés par de très nombreuses femmes aujourd’hui, ici et ailleurs. »
Question : l’ambition du spectacle en quelques mots ?
« En recevant ces lettres devant vous, en partage avec vous, ce que Sophie tente, c’est le triple portrait d’une femme prise à survivre (voir plus si affinités…) dans un monde dur et fou, prise à léguer cette digne rage à qui pourra la recevoir, et prise à accueillir cette rage et cette dignité comme une force. Vive. Comme une recette qui ferait bien de se transmettre de mère en fille. »
Question : Comment êtes-vous arrivé sur le projet ?
« C’est Sophie Perrimond qui est venue me chercher. Elle avait déjà fait une mise en lecture de ces lettres. Elle sentait qu’il fallait aller plus loin… qu’il fallait les extraire du papier et les ré-entendre. Il fallait tout simplement retrouver un « dit », nouer conversation avec ces lettres, pour en retrouver le fil dans nos coeurs et nos esprits d’aujourd’hui. »
Question : Quels ont été les partis pris au niveau de la direction d’acteur ?
« D’emblée il apparu clair que pour retrouver ce « dit », il ne fallait pas incarner « Calamity » mais recevoir ces lettres soi même. Toute la difficulté pour l’actrice vient quand c’est sa propre voix qui les lui adresse... Si j’ai servi à quelque chose, c’est à aider l’actrice à tenir cette position. Pour qu’elle découvre et laisse ouverts les échos vivants de ces lettres qui rappellent les tonalités des milliers de westerns -pas plus cool, pas moins violents- endurés par de très nombreuses femmes aujourd’hui, ici et ailleurs. »
Question : l’ambition du spectacle en quelques mots ?
« En recevant ces lettres devant vous, en partage avec vous, ce que Sophie tente, c’est le triple portrait d’une femme prise à survivre (voir plus si affinités…) dans un monde dur et fou, prise à léguer cette digne rage à qui pourra la recevoir, et prise à accueillir cette rage et cette dignité comme une force. Vive. Comme une recette qui ferait bien de se transmettre de mère en fille. »
Les dates
Le Martha Jane Tour c'est :
Une pièce « spectacle »
Plus de 30 représentations dans des lieux référencés
> Le café théâtre Les Cariatides, Paris 2ème (3 mois)
> Le musée des Lettres et des Manuscrits (1 mois et demi)
> Le salon de thé Fééminithé, Paris 3ème (2 dates)
> Le café littéraire Le Petit Ney, Paris 18ème (1 date)
Une pièce intimiste
15 représentations en appartement dans Paris et la région parisienne:
merci à Evelyne, Arnaud, Nicolas, Barbara, etc…
Une pièce tout public
Des représentations spéciales
> pour des scolaires : au café théâtre Les Cariatides
> pour des enfants de quartiers défavorisés : à la Maison de quartier Younes Matoub
> pour des handicapés : au Musée des Lettres et des Manuscrits
> pour des artistes : à la Galerie Mycroft (1 mois de résidence)
Une pièce « spectacle »
Plus de 30 représentations dans des lieux référencés
> Le café théâtre Les Cariatides, Paris 2ème (3 mois)
> Le musée des Lettres et des Manuscrits (1 mois et demi)
> Le salon de thé Fééminithé, Paris 3ème (2 dates)
> Le café littéraire Le Petit Ney, Paris 18ème (1 date)
Une pièce intimiste
15 représentations en appartement dans Paris et la région parisienne:
merci à Evelyne, Arnaud, Nicolas, Barbara, etc…
Une pièce tout public
Des représentations spéciales
> pour des scolaires : au café théâtre Les Cariatides
> pour des enfants de quartiers défavorisés : à la Maison de quartier Younes Matoub
> pour des handicapés : au Musée des Lettres et des Manuscrits
> pour des artistes : à la Galerie Mycroft (1 mois de résidence)
L'équipe
Fondée par Sophie Perrimond en Janvier 2004, La Compagnie le théâtre des Roches a pour vocation la création de spectacles vivants, l’enseignement des arts du spectacle, et l’utilisation des compétences artistiques au service d’actions sociales.
Président : Julien Mazon
Vice-Président : Guy Perrimond
Directrice artistique : Sophie Perrimond
Siège social :
3 rue Cité de Gênes, 75020 Paris
Contact production :
Pauline Rocafull 06 84 81 20 41
theatredesroches@yahoo.fr
Sophie Perrimond
Après une licence de philosophie et une licence de lettres modernes Sophie Perrimond a d’abord travaillé dans la communication et le journalisme. En 1999, elle rencontre Pascal Elso qui l’engage comme assistante à la mise en scène sur la comédie musicale La Marée d’inox montée au Théâtre Jean Vilar de Suresnes. Formée à l’art dramatique par Lylian Jolliot, qui la met en scène dans Le malin plaisir de David Hare puis Les sorcières de Salem d’Arthur Miller, elle suit parallèlement plusieurs stages avec Carlo Boso afin de s’initier à la comedia dell arte. En 2003, il l’engage pour le rôle de la fille de joie sur l’Epopée occitane. En 2004, elle créé la Cie le Théâtre des Roches pour monter des projets qui lui tiennent à coeur. Le premier sera Toute une journée dans les bras d’un homme, un spectacle basé sur trois monologues de Dario Fo,mis en scène par Danuta Zarazik qu’elle tourne pendant deux ans (Studio Théâtre de Montreuil, festival d’Avignon, Festival au féminin au Lavoir moderne parisien, etc..). En 2005, elle est recrutée par la Cie NocArt pour une aventure hors les murs (spectacles dans les trains), l’Institut polonais pour Le fou et la nonne de Wietkiewitcz, mis en en scène par Géraldine Bensasson. Actuellement elle se consacre aux Lettres à sa fille, prête régulièrement sa voix pour des lecture à RadioFrance, et participe à des court métrages. Parallèlement elle enseigne depuis plusieurs années l’art dramatique en milieu scolaire pour le Centre Dramatique National de Montreuil et d’autres associations, et est formatrice au Centre de Formation deJournalisme de Paris (CFJ).
Bruno Lehoux
Ancien élève du Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique (78/81), Bruno a travaillé, en tant qu’acteur avec Michel Bouquet, Marcel Bluwal, Pierre Vial, Jacques Lassalle, Jacques Rosner, Michel Bernardy, Antoine Vitez. Aujourd’hui il est coach en performance personnelle et team-building et metteur en scène d'évènements. Diplômée du Ciscom (Centre international des sciences de la communication), il est fondateur et directeur d'un centre de formation d'acteurs : « acting dojo ».
Président : Julien Mazon
Vice-Président : Guy Perrimond
Directrice artistique : Sophie Perrimond
Siège social :
3 rue Cité de Gênes, 75020 Paris
Contact production :
Pauline Rocafull 06 84 81 20 41
theatredesroches@yahoo.fr
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Sophie Perrimond
Après une licence de philosophie et une licence de lettres modernes Sophie Perrimond a d’abord travaillé dans la communication et le journalisme. En 1999, elle rencontre Pascal Elso qui l’engage comme assistante à la mise en scène sur la comédie musicale La Marée d’inox montée au Théâtre Jean Vilar de Suresnes. Formée à l’art dramatique par Lylian Jolliot, qui la met en scène dans Le malin plaisir de David Hare puis Les sorcières de Salem d’Arthur Miller, elle suit parallèlement plusieurs stages avec Carlo Boso afin de s’initier à la comedia dell arte. En 2003, il l’engage pour le rôle de la fille de joie sur l’Epopée occitane. En 2004, elle créé la Cie le Théâtre des Roches pour monter des projets qui lui tiennent à coeur. Le premier sera Toute une journée dans les bras d’un homme, un spectacle basé sur trois monologues de Dario Fo,mis en scène par Danuta Zarazik qu’elle tourne pendant deux ans (Studio Théâtre de Montreuil, festival d’Avignon, Festival au féminin au Lavoir moderne parisien, etc..). En 2005, elle est recrutée par la Cie NocArt pour une aventure hors les murs (spectacles dans les trains), l’Institut polonais pour Le fou et la nonne de Wietkiewitcz, mis en en scène par Géraldine Bensasson. Actuellement elle se consacre aux Lettres à sa fille, prête régulièrement sa voix pour des lecture à RadioFrance, et participe à des court métrages. Parallèlement elle enseigne depuis plusieurs années l’art dramatique en milieu scolaire pour le Centre Dramatique National de Montreuil et d’autres associations, et est formatrice au Centre de Formation deJournalisme de Paris (CFJ).___________________________________________
Bruno Lehoux
Ancien élève du Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique (78/81), Bruno a travaillé, en tant qu’acteur avec Michel Bouquet, Marcel Bluwal, Pierre Vial, Jacques Lassalle, Jacques Rosner, Michel Bernardy, Antoine Vitez. Aujourd’hui il est coach en performance personnelle et team-building et metteur en scène d'évènements. Diplômée du Ciscom (Centre international des sciences de la communication), il est fondateur et directeur d'un centre de formation d'acteurs : « acting dojo ».___________________________________________
Nils Beaudelot
Une fac d’anglais, et Nils décide de partir aux Etats-Unis pendant plusieurs années (Indianapolis, New York, L.A). De retour en France, il fait du mannequinat pour différents magazines (Technikart, Biba, …) et pour le photographe Emmanuel Pierrot. Il intègre Canal + en 1997, tout en
commençant une carrière de décorateur pour le cinéma, la télévision mais aussi le théâtre. Comédien, il a joué dans de nombreux sketches et courtsmétrages dont « Ainsi font font font »: court-métrage sélectionné au festival du film de Turin 2007 et dont il est le co-réalisateur avec Serena Reinaldi. C’est en 2004 qu’il rencontre Sophie Perrimond et devient son régisseur pour le spectacle « Toute une journée dans les bras d’un homme » de Dario Fo puis scénographe pour « Lettres à sa fille » de Calamity Jane.
commençant une carrière de décorateur pour le cinéma, la télévision mais aussi le théâtre. Comédien, il a joué dans de nombreux sketches et courtsmétrages dont « Ainsi font font font »: court-métrage sélectionné au festival du film de Turin 2007 et dont il est le co-réalisateur avec Serena Reinaldi. C’est en 2004 qu’il rencontre Sophie Perrimond et devient son régisseur pour le spectacle « Toute une journée dans les bras d’un homme » de Dario Fo puis scénographe pour « Lettres à sa fille » de Calamity Jane.
Nils Beaudelot
Une fac d’anglais, et Nils décide de partir aux Etats-Unis pendant plusieurs années (Indianapolis, New York, L.A). De retour en France, il fait du mannequinat pour différents magazines (Technikart, Biba, …) et pour le photographe Emmanuel Pierrot. Il intègre Canal + en 1997, tout en
commençant une carrière de décorateur pour le cinéma, la télévision mais aussi le théâtre. Comédien, il a joué dans de nombreux sketches et courtsmétrages dont « Ainsi font font font »: court-métrage sélectionné au festival du film de Turin 2007 et dont il est le co-réalisateur avec Serena Reinaldi. C’est en 2004 qu’il rencontre Sophie Perrimond et devient son régisseur pour le spectacle « Toute une journée dans les bras d’un homme » de Dario Fo puis scénographe pour « Lettres à sa fille » de Calamity Jane.
commençant une carrière de décorateur pour le cinéma, la télévision mais aussi le théâtre. Comédien, il a joué dans de nombreux sketches et courtsmétrages dont « Ainsi font font font »: court-métrage sélectionné au festival du film de Turin 2007 et dont il est le co-réalisateur avec Serena Reinaldi. C’est en 2004 qu’il rencontre Sophie Perrimond et devient son régisseur pour le spectacle « Toute une journée dans les bras d’un homme » de Dario Fo puis scénographe pour « Lettres à sa fille » de Calamity Jane.
Bruno Lehoux
Ancien élève du Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique (78/81), Bruno a travaillé, en tant qu’acteur avec Michel Bouquet, Marcel Bluwal, Pierre Vial, Jacques Lassalle, Jacques Rosner, Michel Bernardy, Antoine Vitez. Aujourd’hui il est coach en performance personnelle et team-building et metteur en scène d'évènements. Diplômée du Ciscom (Centre international des sciences de la communication), il est fondateur et directeur d'un centre de formation d'acteurs : « acting dojo ».Sophie Perrimond
Après une licence de philosophie et une licence de lettres modernes Sophie Perrimond a d’abord travaillé dans la communication et le journalisme. En 1999, elle rencontre Pascal Elso qui l’engage comme assistante à la mise en scène sur la comédie musicale La Marée d’inox montée au Théâtre Jean Vilar de Suresnes. Formée à l’art dramatique par Lylian Jolliot, qui la met en scène dans Le malin plaisir de David Hare puis Les sorcières de Salem d’Arthur Miller, elle suit parallèlement plusieurs stages avec Carlo Boso afin de s’initier à la comedia dell arte. En 2003, il l’engage pour le rôle de la fille de joie sur l’Epopée occitane. En 2004, elle créé la Cie le Théâtre des Roches pour monter des projets qui lui tiennent à coeur. Le premier sera Toute une journée dans les bras d’un homme, un spectacle basé sur trois monologues de Dario Fo,mis en scène par Danuta Zarazik qu’elle tourne pendant deux ans (Studio Théâtre de Montreuil, festival d’Avignon, Festival au féminin au Lavoir moderne parisien, etc..). En 2005, elle est recrutée par la Cie NocArt pour une aventure hors les murs (spectacles dans les trains), l’Institut polonais pour Le fou et la nonne de Wietkiewitcz, mis en en scène par Géraldine Bensasson. Actuellement elle se consacre aux Lettres à sa fille, prête régulièrement sa voix pour des lecture à RadioFrance, et participe à des court métrages. Parallèlement elle enseigne depuis plusieurs années l’art dramatique en milieu scolaire pour le Centre Dramatique National de Montreuil et d’autres associations, et est formatrice au Centre de Formation deJournalisme de Paris (CFJ).Revue de presse
« Le Martha Jane Tour »
De Calamity Jane, direction d’acteur Bruno Lehoux, avec Sophie Perrimond
Découvrir ces lettres, c’est faire un voyage bouleversant dans l’intimité d’une femme extraordinaire qui raconte l’histoire de sa vie et dévoile avec lucidité les coulisses d’un Far West légendaire.
Journal de la Bibliothèque de Romainville, décembre 2006
Calamity Jane, c'est tout ce qu'on aime au (vrai) théâtre : un texte percutant, très moderne, insolent parfois, émouvant très souvent... Une actrice qui se donne et qui n'a pas besoin de tenir deux Colt pour vous mitrailler ses répliques et vous en mettre plein les oreilles...
Fluctuat.net, décembre 2007
Magnifique interprétation ! Spectacle à ne pas rater. C'est plein de vie, d'amour, de rage, de fragilité. L'émotion est présente à chaque instant. Un très bon moment, une superbe parenthèse :)
Blog parisétudiant.com, janvier 2008
Ce sont des lettres furieuses, tendres et intimes. On se laisse bercer par une comédienne qui nous ramène en enfance, ou nous fait devenir maman. C'est magique et sucré.
Billetreduc, janvier 2008
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